Et si le vent parlait la langue des enfants….Quelle voix aurait-il? À l’abri des gémissements horrifiants du vent et de la guerre, des enfants migrants ont trouvé refuge dans une école abandonnée, où ils vivent dans le silence et la peur. Dans cette fable allégorique, le germe de l’espoir se cache même dans l’horreur…
Questionnant les notions contemporaines d’identité et de migration, la montréalaise Édith Jorisch réalise et scénarise des films de fiction et de documentaire. L’héritier, son premier long-métrage documentaire remporte deux prix Gémeaux, soit meilleure réalisation documentaire et meilleur documentaire, en plus d’être diffusé et primé dans plusieurs festivals et à la télévision à travers le monde. En 2017, son court-métrage AWE se démarque par son style hybride, flirtant habilement entre fiction et documentaire. Tibbits Hill, son premier court-métrage de fiction est une fable allégorique sur la musique comme arme antimilitariste, produit en collaboration avec une chorale d’enfants et la compositrice Alexandra Stréliski.
Réalisation / Scénario | Edith Jorisch |
Production | Maria Gracia Turgeon, Camille Mongeau |
Interprétation | Calixa Viau, Clara Chainé, Loïc McNeil |
Direction de la photographie | François Messier-Rheault |
Direction artistique | Marie-Pier Fortier |
Montage | Philippe Grenier |
Musique | Alexandra Stréliski |
Séance de courts métrages comprenant les films suivants:
- Lolos de Marie Valade
- Prison of the Sun de Kaveh Nabatian
- La marche de Yoakim Bélanger
- Prendre le nord de Chantal Caron
- Comme une comète d'Ariane Louis-Seize
- Tibbits Hill d'Édith Jorisch