Odehimin c’est se reconnecter avec soi-même et réapprendre à s’aimer.
Kijâtai vit à Montréal et est membre de la nation Anishnabe. La famille du côté de son père vient de la communauté du Lac-Simon et celle de sa mère, qui est allochtone québécoise, vient de Val-d’Or en Abitibi-Témiscamingue.
Ses courts métrages abordent les réalités autochtones de façon personnelle (Kijâtai, Kabak, Odehimin et Kimiwan). Iel s’engage également à travers les organismes tels que Puamun Meshkenu, Mikana et Wapikoni. Ce qui lui permet d’œuvrer sur la création de ponts entre autochtones et allochtones en plus de sensibiliser les gens aux différentes réalités autochtones.
Elle a débuté en Janvier 2021 un stage en communications chez Ondinnok, compagnie de création de théâtre autochtone et un stage en journalisme à La Converse, média indépendant travaillant à créer et offrir un journalisme de proximité et de dialogue.
Réalisation / Scénario / Caméra / Montage | Kijâtai-Alexandra Veillette-Cheezo |
Production | Wapikoni Mobile |
Interprétation | Kijâtai-Alexandra Veillette-Cheezo |
Séance de courts métrages comprenant les films suivants:
- Noire et blanche de Bernard Boucher, Marie-Pier Garneau et Audrey Germain
- 100 Miles de Louis Bodard
- Picbois de Kevin T. Landry
- Odehimin de Kijâtai-Alexandra Veillette-Cheezo
- Roca Morena de Siam Obregón
- Mimine de Simon Laganière
- Les filles ne marchent pas seules la nuit de Katerine Martineau